Quels sont les tarifs des consultations?
Consultation initiale en homéopathie : 120 CAD (durée d’environ 90 min)
Consultation homéopathique – suivi : 80 CAD (durée d’environ 60 min)
Consultation enfant : 70 CAD (durée d’environ 60 min)
Consultation homéopathique – cas aigu : 50 CAD (durée d’environ 20 min)
Ce service est pour les cas d’une malaise aigue (grippe, bronchite aigue, sinusite aigue, labyrinthite aigue, etc). Une maladie aigue est un problème récent avec une durée de moins de 3-4 semaines.
Les tarifs incluent la rencontre, l‘analyse du cas que je fais après le RDV dans le but de trouver le remède qui convient le mieux à l’information obtenues par le client, ainsi que les échanges par courriel suite à la prescription.
Est-ce que l’homéopathie est efficace pour les gens de tous les âges?
Oui. L’homéopathie peut être utilisée par des personnes d’âge avancée, ainsi que par des nouveau-nés. Par contre, généralement, les résultats chez les jeunes enfants apparaissent beaucoup plus rapidement, parce que leur force vitale est plus importante comparée à celle des adultes, donc, ils répondent d’une façon plus vive aux remèdes homéopathiques. De plus, les jeunes ont, dans la majorité des cas, moins de barrages susceptibles de bloquer l’action des remèdes, ce qui facilite le traitement.
L’homéopathie agit-elle lentement?
Dans les cas aigus (grippe, diarhée, douleurs menstruelles, toux, rhume), la réaction suite à un remède correctement choisi sera perceptible dans les minutes ou les heures qui suivent la prise. La règle générale qui s’applique dans ces cas est que s’il n’y a pas d’amélioration jusqu’à trois doses (trois prises) du remède, ce remède n’est pas assez similaire à la maladie et il faut en chercher un nouveau, plus convenable.
Par contre, dans le cas des maladies chroniques (troubles récidivants comme l’eczéma, l’asthme, le diabète, etc.) le processus de guérison peut être plus long. Il est primordial de laisser le temps nécessaire à l’organisme pour que la force vitale puisse faire le travail de guérison en profondeur. Il faut comprendre que ce n’est pas le remède qui fait guérir le malade, mais sa force vitale. Le rôle du remède homéopathique est de provoquer cette force à démarrer le processus de guérison. Chez les malades qui souffrent de maladies chroniques depuis 15-20 ans, la guérison peut prendre des mois, voire des années pour que tous les déséquilibres installés pendant ces années soient nettoyés couche par couche.
Dans les cas chroniques, la patience de la part du patient et de l’homéopathe est extrêmement importante. Dans la majorité des maladies chroniques, il faut attendre environ de 3 à 5 semaines après la prise du remède choisi avant de faire une analyse des réactions de l’rganisme suite à cette prise.
Pourquoi observe-t-on une aggravation des symptômes après la prise d’un remède homéopathique?
Cette réaction de début de traitement est causée par la superposition temporaire de la maladie artificielle (créée par le remède) qui est légèrement plus puissante que la maladie naturelle. En principe, une aggravation homéopathique ne devrait pas durer plus de quelques heures dans les cas des maladies aigues, et quelques jours lors d’une maladie chronique. Dans la majorité des cas, il ne faut pas perturber cette réaction de l’organisme en administrant d’autres remèdes. Toutefois, il faut informer l’homéopathe de chaque aggravation pour qu’il décide s’il faut prendre certaines mesures ou simplement attendre.
L’aggravation des symptômes est un bon signe qui indique que le remède est bien choisi et que la force vitale du malade est assez forte pour commencer le processus de guérison.
Doit-on arrêter le caffé durant un traitement homéopathique?
Oui! Malheureusement pour tous les adeptes du caffé, il est nécessaire d’arrêter la prise du caffé au moins dans les premiers jours après la prise du remède homéopathique. La raison est qu’il existe certaines incompatibilités entre le caffé et les remèdes homéopathiques: le caffé peut annuler l’effet de ces derniers.
La même règle s’applique pour les huiles essentielles et la menthe.
Mais… Il n’y a que de l’eau et du sucre dans les remèdes homéopathiques…
C’est un mythe. Avant le développement de la science de la nanomédicine, on croyait qu’à partir de la dilution 12CH, il n’y avait aucune molécule de la substance initiale du remède, car ces dilutions dépassaient le numéro d’Avogadro (on fasait des calculs purement mathématiques des dilutions, sans tenir compte des succussion). Avec l’avancement de cette science et grâce à des expérimentations avec « Transmission Electron Microscopy (TEM), electron diffraction and chemical analysis by Inductively Coupled Plasma-Atomic Emission Spectroscopy (ICP-AES)« , on a découvert la présence de nanoparticules de la substance initiale dans l’eau. Cette présence s’explique avec la succussion qu’on fait à chaque étape de la production d’une nouvelle puissance homéopathique. Pour plus d’information voir la publication « Extreme homeopathic dilutions retain starting materials: A nanoparticulate perspective ».